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Et j’ai déjà mon deuxième rendez-vous pour février. Et j’espère que cela réglera mon problème, donc je ne pourrai pas trop m’en inquiéter."

L’infirmière Arti Vyas, qui administrait les vaccins, a déclaré à propos de l’effort de vaccination de masse : "Nous menons la guerre. Nous faisons un travail important ici."

Les personnes vaccinées au TCF doivent se munir d’une pièce d’identité, d’un stylo et d’un presse-papiers ou de quoi écrire pour remplir les formulaires de consentement. Il leur est demandé de porter une chemise à manches courtes sous leur manteau.

Une fois l’injection administrée, les personnes sont priées de rester sur place dans leur véhicule pendant 15 minutes pour observer tout effet indésirable. Ils reçoivent alors un certificat de vaccination et peuvent partir.

Melody Armstrong, 65 ans, de Détroit, a suivi le processus mercredi avec sa mère, Mamie Cokley, 85 ans, de Détroit. Ils souhaitent voyager et ont dû annuler un voyage en Australie en octobre à cause de la pandémie.

Maintenant qu’ils ont été vaccinés, ils espèrent pouvoir réserver à nouveau leur voyage pour plus tard cette année, sachant qu’ils sont protégés et qu’ils ne contamineront pas les autres.

"Nous voulons rendre service à la communauté", a déclaré Armstrong, un éducateur à la retraite des écoles publiques de Southfield. "Nous voulons faire notre part. Nous voulions que notre communauté soit servie."

Cokley, qui a fermé les yeux pour le vaccin, a brandi avec enthousiasme son carnet de vaccination avec une main gantée après avoir reçu son vaccin. Elle a dit qu’elle connaissait des gens qui étaient malades et qui sont morts du virus.

"C’était très important pour moi afin que je puisse être vacciné pour moi et mes amis", a déclaré Cokley.

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Alors que les cas de coronavirus augmentent à nouveau dans le Delaware, l’État envisage plusieurs options pour augmenter le nombre de vaccinations, notamment des mandats pour certains travailleurs et des exigences pour entrer dans les entreprises, a déclaré mardi un haut responsable de la santé du Delaware.

« Aucune option n’est exclue », a déclaré le Dr Rick Hong, directeur médical de la Division de la santé publique. Contrairement à d’autres États, le Delaware n’a pas encore annoncé de changements significatifs dans ses prévisions à la lumière de la montée en puissance de la variante delta.

Le taux d’infection dans le Delaware a plus que doublé au cours des deux dernières semaines, atteignant un niveau jamais vu depuis la mi-mai. À ce jour, 61 % de tous les Delawareens ont reçu au moins une dose du vaccin COVID-19, selon les données fédérales. Le 1er juillet, l’État a annoncé qu’il avait atteint l’objectif du président Joe Biden de 70 % des adultes recevant au moins une dose.

PANDÉMIE DU DELAWARE : La transmission du COVID-19 est désormais « substantielle » dans tout le Delaware. Comment rester en sécurité.

"Nous sommes préoccupés par les tendances", a déclaré Hong. "Et vous savez, le delta est en grande partie le problème."

Le Delaware a annoncé mardi de nouvelles recommandations pour les tests COVID-19, sa première directive depuis que les Centers for Disease Control and Prevention ont déclaré la semaine dernière que tout le monde, quel que soit son statut vaccinal, devrait porter un masque dans les lieux publics intérieurs dans les endroits avec un COVID « substantiel » ou « élevé ». -19 transmissions. L’ensemble de l’État connaît une transmission importante, selon les données du CDC.

Les recommandations de l’État n’incluaient aucun mandat, ni aucune directive révisée sur le port du masque ou la distance.

Les agents de santé font partie de ceux que le Delaware a du mal à vacciner. La semaine dernière, ChristianaCare – le plus grand système de santé et employeur privé du Delaware – a annoncé qu’il exigerait que les employés se fassent vacciner sous peine de licenciement cet automne.

"Le gouverneur et son équipe de santé publique envisagent toutes les options pour augmenter les taux de vaccination, ce qui est cohérent avec ce que nous constatons dans d’autres États et au niveau fédéral", a déclaré le porte-parole Jonathan Starkey dans un communiqué. "Le fait est que ces vaccins sont sûrs et extrêmement protecteurs contre les maladies graves et l’hospitalisation. Augmenter encore nos taux de vaccination est la meilleure façon de enfin surmonter cette pandémie."

On craint, a déclaré Hong, que les mandats des travailleurs puissent entraîner une pénurie de personnel.

Les autorités de la ville de New York ont ​​annoncé mardi que les gens devront présenter un carnet de vaccination pour manger dans un restaurant et pour d’autres activités en salle.

Hong a déclaré que les responsables du Delaware avaient « discuté » de cette idée et qu’il s’agissait d’une « possibilité ». Cependant, cela ne se ferait pas, a-t-il prévenu, sans la contribution des restaurants et des propriétaires d’entreprises.

Dans les directives de mardi, l’État a recommandé aux personnes non vaccinées de se faire tester chaque semaine et cinq à sept jours après avoir été exposées à une personne atteinte du COVID-19. Les personnes non vaccinées doivent s’isoler à la maison si elles développent des symptômes du COVID-19 et se mettre immédiatement en quarantaine si elles sont exposées à une personne atteinte du COVID-19.

L’État a également approuvé la recommandation du CDC selon laquelle les personnes entièrement vaccinées se font tester trois à cinq jours après avoir été exposées à une personne atteinte du COVID-19.

Hong a déclaré qu’il pensait que certaines personnes non vaccinées suivraient les directives de test publiées par l’État, même si elles ne suivaient pas l’insistance des responsables de la santé à se faire vacciner, affirmant qu’« il existe deux préoccupations différentes concernant les tests et le vaccin ».

La Division de la santé publique est toujours en train d’examiner les directives du CDC sur les masques d’intérieur et a reconnu qu’il existe « un certain conflit entre les recommandations », a déclaré Hong.

Il souhaite mieux comprendre les directives de quarantaine, déterminer si les personnes entièrement vaccinées doivent être testées pour le COVID-19 et combien de temps les personnes non vaccinées doivent attendre pour être testées si elles ont été exposées.

« Ce qui me préoccupe, c’est que nous émettons des recommandations individuelles, cela prête à confusion », a-t-il déclaré. « Les choses évoluent si rapidement. »

Si les Delawareens vaccinés ne savent pas s’ils doivent porter un masque à l’intérieur d’une épicerie ou d’un restaurant, cette décision devrait être basée sur leur propre évaluation personnelle des risques, a déclaré Hong.

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Selon les données de l’État, 99 % des cas dans le Delaware concernaient des personnes non complètement vaccinées. Les cas positifs chez les personnes vaccinées ont tendance à être plus légers.

"Si vous êtes complètement vacciné, le risque est plus faible", a-t-il déclaré, "mais cela ne signifie pas que vous êtes totalement protégé."

Contactez Meredith Newman au (302) 256-2466 ou à [email protected]. Suivez-la sur Twitter à @MereNewman. Contactez Brandon Holveck à bhol[email protected]. Suivez-le sur Twitter @holveck_brandon.

Alors que l’Arizona fait face à de fortes augmentations des cas et des hospitalisations de COVID-19, la demande de tests a également augmenté. L’approvisionnement en matériel de test est insuffisant dans certaines régions.

L’ordre permanent du département de la Santé de l’État sur les tests stipule que toute personne présentant des symptômes ou pensant avoir été exposée à un cas peut se faire tester.

Au cours du mois dernier, le gouverneur Doug Ducey a encouragé à plusieurs reprises les Arizoniens à se faire tester s’ils le souhaitent.

Mais ce n’est pas si simple ni évident, comme en témoigne la situation sur le terrain.

Le ministère des Services de santé de l’Arizona n’a pas répondu lundi aux questions sur les tests à l’échelle de l’État, et un porte-parole du comté de Maricopa a adressé des questions sur les tests à l’État.

Lundi, l’Arizona comptait 54 586 cas connus et 1 342 décès connus. Les cas ont augmenté de 171 % au cours des trois dernières semaines. Plus de 1 000 nouveaux cas ont été signalés au cours de chacun des 13 derniers jours, avec plus de 2 000 nouveaux cas signalés au cours de chacun des cinq derniers jours, selon les données de l’État. Le pourcentage de résultats de tests positifs a augmenté depuis la mi-mai.

Plus de cas signifie que davantage de personnes ont été exposées au virus. Les personnes exposées peuvent demander un test, avec ou sans symptômes.

Il y a eu « une augmentation significative de la demande qui met sous pression tous les laboratoires », a-t-elle déclaré par courrier électronique.

Sonora Quest travaille sur plusieurs façons de répondre à la demande, comme trouver des matériaux et des flux d’approvisionnement alternatifs, acheter des machines de test supplémentaires et ajouter du personnel dédié uniquement aux tests COVID-19, a déclaré Pridonoff.

Banner Health, le plus grand système hospitalier de l’État, gère un site de test au parc des expositions de l’État de l’Arizona, ouvert six jours par semaine.

SE FAIRE TESTER : Voici les dernières options de test COVID-19 en Arizona

Ce site compte environ 1 000 rendez-vous par jour, a déclaré Becky Armendariz, porte-parole de Banner. Les personnes présentant des symptômes et celles préoccupées par une exposition peuvent y être testées, a-t-elle déclaré.

"En raison de la forte demande en ce moment, tous nos créneaux de rendez-vous sont remplis chaque jour", a déclaré Armendariz par courrier électronique. "Ceux qui souhaitent se faire tester sur ce site devront appeler tôt pour fixer leur rendez-vous."

Elle a également déclaré que les délais d’exécution pour obtenir des résultats sont « plus longs que prévu ».

La semaine dernière, le bureau du gouverneur et le ministère des Services de santé de l’Arizona ont demandé aux prestataires de soins de santé de quel soutien ils avaient besoin, a déclaré Armendariz. À ce moment-là, Banner a demandé à l’État d’aider Sonora Quest à obtenir des fournitures afin qu’ils puissent augmenter leur capacité à traiter les tests COVID-19, a-t-elle déclaré.

"Une fois que cela se produira, Banner sera en mesure d’augmenter le nombre de rendez-vous disponibles au parc des expositions", a-t-elle déclaré.

Un autre grand système hospitalier, Dignity Health, connaît actuellement une pénurie de réactifs de test, selon la porte-parole Carmelle Malkovich.

Les hôpitaux Dignity Health sont en mesure de traiter les résultats des tests en 24 heures environ pour les patients des services d’urgence et les patients hospitalisés atteints du COVID-19 et en deux jours pour les patients en chirurgie élective.

"La majorité de nos analyses de tests sont désormais effectuées dans l’un de nos laboratoires internes, ce qui a contribué à garantir des délais d’exécution efficaces", a déclaré Malkovich dans un courrier électronique.

Lundi, un total de 429 418 tests de diagnostic avaient été effectués. Les tests ont augmenté d’environ 200 % depuis l’expiration de l’ordonnance de maintien à domicile à la mi-mai.

Au cours de la même période, le nombre total de cas a augmenté de 315 %, ce qui signifie que le virus s’est propagé à un rythme nettement supérieur à ce qui serait expliqué par une simple augmentation des tests.

Et au cours des deux dernières semaines, les tests ont augmenté d’environ 50 % et les cas d’environ 100 %.

Le pourcentage de tests positifs a également augmenté de manière significative au cours du mois dernier, ce qui est considéré comme un indicateur que les tests ne sont pas aussi robustes qu’ils devraient l’être et que la propagation communautaire du virus augmente. Les tests positifs ont atteint 19 pour cent la semaine dernière, contre 6 pour cent à la mi-mai.

La croissance rapide du nombre de cas suggère une propagation accrue dans la communauté, ce qui signifie une augmentation du nombre de personnes malades ou exposées qui doivent se faire tester.

Ce nombre – la demande de tests – a dans certains cas dépassé l’offre de tests de l’Arizona.

Will Humble, directeur exécutif de l’Arizona Public Health Association, a déclaré qu’il y avait eu des problèmes de tests tout au long de la pandémie, en fonction de l’endroit où vous viviez et de votre accès au système de santé. Cela n’a jamais été aussi omniprésent qu’il y paraît, a-t-il déclaré.

"J’ai l’impression qu’il y a tellement de gens dans la communauté qui sont malades en ce moment et qui veulent se faire tester, que l’offre existante est tout simplement écrasante", a-t-il déclaré.

Patrick Ptak, porte-parole de Ducey, a déclaré que les laboratoires privés ont constaté une demande accrue de tests de traitement car les cas augmentent et la recherche des contacts se développe.

Le ministère des Services de santé de l’Arizona « travaille activement » pour fournir aux laboratoires privés des ressources supplémentaires afin qu’ils puissent étendre les tests, a-t-il déclaré. On ne sait pas exactement quels sont les approvisionnements en pénurie pour lesquels l’État aide ; Ptak n’a pas répondu à une question complémentaire.

Il a déclaré que les gens devraient se préinscrire pour les tests sur azdhs.gov/covid19testing afin de réduire les temps d’attente.

Les Arizoniens ont du mal à se faire tester

Le week-end dernier, à Maryvale, dans l’ouest de Phoenix, près de 1 000 personnes ont attendu jusqu’à 13 heures pour un test de diagnostic gratuit. L’épreuve de test devait se dérouler de 5h30 à 11h00, mais à 18h00, plusieurs personnes dans des voitures faisaient encore la queue pour être testées, dont certaines étaient arrivées tôt le matin. D’autres ont abandonné et sont rentrés chez eux, incapables de se faire tester.

D’autres ont eu du mal à trouver un bon endroit pour se faire dépister.

Début juin, Alexandra Sivak a passé plusieurs heures en ligne et au téléphone depuis son domicile de Los Angeles à essayer de trouver un rendez-vous pour un test dans l’East Valley pour sa sœur, qui était à la maison avec un nouveau-né et présentait des symptômes de type COVID.

Ils souhaitaient idéalement une consultation en face à face accompagnée d’un test, plutôt qu’un test au volant, mais cela est rapidement devenu presque impossible.